#policepartout #justicenullepart #presseparesseuse
Tous nos articles
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Retraites : les vrais chiffres du nombre de plaintes contre la police
Temps de lecture : 4 minutes 11 enquêtes, vraiment Monsieur Darmanin ? La Défenseure des droits a été saisie de 56 cas. Rien que sur Paris, le parquet dénombre 20 enquêtes judiciaires à ce jour. L’IGPN ne traite qu’un cas sur 10. Bien pratique pour mettre les statistiques sous le tapis.
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Procès de la BAC de Lyon : aux castagneurs, la patrie reconnaissante
Temps de lecture : 3 minutes La justice traîne, et l’administration se tait. Deux ans après la conclusion de l’enquête, les policiers mis en cause dans l’agression d’Arthur courent toujours. Pire : nombre d’entre eux ont été promus.
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Police partout, médias nulle part
Temps de lecture : 5 minutes 7 péchés capitaux de la police lyonnaise #7. Loin des règles du métier (vérification des faits et confrontation des sources), la presse paresseuse se contente de copier les discours institutionnels et de relayer les fake news préfectorales. Le « quatrième pouvoir », en panne, participe à l’impunité policière.
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Plaintes contre la police : cachez ces chiffres que je ne saurais voir
Temps de lecture : < 1 minute Quelques constats et propositions pour en finir avec l’impunité policière, volet 2/3. Les statistiques sur le traitement des infractions policières existent, mais le gouvernement les tient secrètes. En pleine campagne législative, la transparence s’impose !
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Pire que l’IGPN : les « bœufs-carottes » des banlieues
Temps de lecture : 2 minutes Quelques constats et propositions pour en finir avec l’impunité policière, volet 3/3. A l’ombre de la tristement célèbre inspection nationale, 90 % des plaintes contre la police sont traitées par des « services déontologie » invisibles et encore plus partiaux et inefficaces. La conclusion s’impose : ils doivent disparaître.
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Nous ne céderons pas une minute à l’abattement
Temps de lecture : 2 minutes En cas d’élection de Le Pen, les rouages de la République répressive sont déjà en place pour servir une dynamique fasciste. Si Macron demeure, l’emprise de la police reste à défaire.