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Vous aimez l’IGPN ? Vous allez adorer les « cellules déontologie »
Temps de lecture : 2 minutes L’IGPN ne cesse d’affirmer qu’elle ne traite que 10 % des enquêtes ouvertes après des violences policières. Mais où passent les autres ? Souvent, elles échouent entre les mains des « cellules déontologie » : concentrés sur les affaires les moins visibles, ces services se révèlent partiaux et inefficaces.
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Violences sur Arthur : l’ensemble de la chaîne hiérarchique a couvert les faits
Temps de lecture : 5 minutes Une dizaine de policiers ont été témoins directs ou indirects de l’agression, dont certains hauts gradés. Pourtant, il a fallu attendre la diffusion des images dans les médias pour que le parquet ouvre une enquête. Nous saisissons la Défenseure des droits et publions une vidéo accablante.
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Violences policières, l’escalade ?
Temps de lecture : 2 minutes Sous Macron, la police a tué deux fois plus que sous Sarkozy, et tiré cinq fois plus au LBD sur la population. Macron ne cesse de jouer au rempart contre « les extrêmes ». Pourtant, ces chiffres montrent l’extrême violence d’une politique policière assumée.
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Violences policières : la justice blanchit mais cache son chiffre noir
Temps de lecture : 3 minutes Les procureurs trouvent deux fois plus d’excuses aux violences quand elles sont commises par des policiers. Un quart des agents considérés comme coupables sont absous en toute discrétion. Les premières statistiques dévoilées par Politis objectivent la fabrique de l’impunité.
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Violences policières : de plus en plus d’enquêtes, de moins en moins de poursuites
Temps de lecture : 3 minutes En dépit de l’acharnement des autorités à masquer l’ampleur du contentieux entre la population et sa police, les chiffres démontrent que la part des auteurs « non identifiés » dans les enquêtes ouvertes par la justice pénale ne cesse de croître. Une rupture a eu lieu sous Macron.
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Université Lyon 2 : la pédagogie par la matraque
Temps de lecture : 3 minutes Depuis mi-novembre, les interventions violentes se sont multipliées à la fac. La chronologie révèle une nette escalade de la répression. En laissant intervenir la police, la présidence revient sur des acquis sociaux… du Moyen-âge.