Vous aimez l’IGPN ? Vous allez adorer les « cellules déontologie »
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Vous aimez l’IGPN ? Vous allez adorer les « cellules déontologie »

Temps de lecture : 2 minutesL’IGPN ne cesse d’affirmer qu’elle ne traite que 10 % des enquêtes ouvertes après des violences policières.
Mais où passent les autres ?
Souvent, elles échouent entre les mains des « cellules déontologie » :
concentrés sur les affaires les moins visibles, ces services se révèlent partiaux et inefficaces.

Que deviendra le « permis de tuer » sous la nouvelle Assemblée ?
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Que deviendra le « permis de tuer » sous la nouvelle Assemblée ?

Temps de lecture : 3 minutesAu printemps, la Cour de cassation a jugé que les policiers peuvent tirer même en dehors de la légitime défense.
Dans la foulée, l’Assemblée nationale a esquissé un geste en faveur de la modification de l’article L435-1 du Code de sécurité intérieure… Juste avant d’être dissoute. Tout reste à faire.

Affaire Luis Bico : la Cour de cassation valide le « permis de tuer » de la police
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Affaire Luis Bico : la Cour de cassation valide le « permis de tuer » de la police

Temps de lecture : 4 minutesPour la première fois, la justice valide un tir policier mortel, alors qu’il n’y avait pas légitime défense. Luis Bico ne présentait pas de danger immédiat. Mais le policier qui l’a tué, alors que des passants étaient dans sa ligne de mire, échappe à toute poursuite. La CEDH va être saisie.

Police : abolissons son permis de tuer
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Police : abolissons son permis de tuer

Temps de lecture : 2 minutesLe meurtre de Nahel a replacé sur le devant de la scène les conditions dans lesquelles les policiers peuvent aujourd’hui faire usage de leurs armes. A travers une série d’enquêtes et de témoignages, Flagrant déni révèle l’opacité, le flou et la dangerosité des instructions relatives à l’usage de ces armes. Au cœur des controverses, l’article L435-1 du Code de sécurité intérieure. Une seule solution : son abolition.