Retrouvez l’ensemble de nos dossiers
Tous nos articles
-

« Vous avez du culot de venir ici pour déposer plainte contre des collègues »
Temps de lecture : 4 minutesAchour* a subi des violences policières à Lyon. L’hôtel de police a d’abord refusé de prendre sa plainte, avant de lui réserver un traitement peu compatissant. L’IGPN ne prend pas les plaintes, donc il n’existe aucun service d’accueil spécialisé pour les victimes.
-

Disproportion des blessures à Sainte-Soline : la fabrique indécente des chiffres officiels
Temps de lecture : 8 minutesDarmanin a fait tirer 2,5 grenades mutilantes par minute en continu mais refuse d’assumer la guerre qu’il a menée à « l’adversaire ». Par contre, le moindre bobo côté gendarmes est recensé. Analyse croisée entre Sainte-Soline et des documents exclusifs de Flagrant déni, sur Lyon.
-

Retraites : les vrais chiffres du nombre de plaintes contre la police
Temps de lecture : 4 minutes11 enquêtes, vraiment Monsieur Darmanin ? La Défenseure des droits a été saisie de 56 cas. Rien que sur Paris, le parquet dénombre 20 enquêtes judiciaires à ce jour. L’IGPN ne traite qu’un cas sur 10. Bien pratique pour mettre les statistiques sous le tapis.
-
« La caméra les gars, la caméra elle tourne » : Quand la police avoue avoir matraqué un manifestant pour le faire taire
Temps de lecture : < 1 minuteLe 7 mars 2020, Frédéric fait face à plusieurs policiers. Il leur crie de baisser leurs LBD. Quelques instants plus tard, il se fait matraquer sauvagement. Sur une vidéo de police inédite, un des matraqueurs avoue qu’il voulait juste le faire taire.
-

Violences policières : la justice blanchit mais cache son chiffre noir
Temps de lecture : 3 minutesLes procureurs trouvent deux fois plus d’excuses aux violences quand elles sont commises par des policiers. Un quart des agents considérés comme coupables sont absous en toute discrétion. Les premières statistiques dévoilées par Politis objectivent la fabrique de l’impunité.
-

La justice préfère les tabassés du centre ville
Temps de lecture : 2 minutesViolences policières sur la place Bellecour : condamnation des coupables. Violences policières à Vaulx-en-Velin : condamnation de la victime. La justice « indépendante » valide la partialité du traitement des dossiers par le parquet.








